comme autrefois aux temps aristo'
soeur anne (l'autre)
sentant poindre l'angoisse subversive
il écoute les noueux murmures intimes du vent
dans les hauts du ciel pourfendu
venant des espaces suspendus
entre univers combinés et galaxies abandonnées
il raconte venteusement
l'indiscret mais laiteux parcours
de la lune de ses épineux croissants
et autres folies décroissantes
gibbeuse révèle-t-il
elle se réfugie sous les frondaisons abondantes
prépare en secret ses écrits délicieux et ses mots savants
protégée des douves paisibles du marais que le vert habite
C'est quand même curieux, comme nos photos se répondent sans la moindre concertation...
RépondreSupprimerHier, me lassant des bois de St Gildas, je suis allée me promener sur le Canal de Nantes à Brest, et dans les zones plus marécageuses, j'ai photographié... Le même vert anisé.
Je mettrai en ligne lundi (la connexion ici est trop pourrie pour autoriser les mises à jour), mais j'avoue que la chose m'intrigue passablement.
intrigant et très étonnant...
RépondreSupprimerbien plus que les photos (ce qui est déjà surprenant !!) ... mais aussi les thèmes souvent, les réflexions, les mots les centres d'intérêts... pas tous (ouf!! rires)..
mais c'est vrai que ça fait déjà un bon moment que cela m'interpelle