à la croisée des chemins
de naguère
ceux que d'un pas lourd
tu suivais...
entre vieilles bastides
et bastions oubliés
de nos frivoles mémoires
souviens toi ! souviens toi ... allongés à l'ombre du feuillu d'un arbre ...
tu disais que l'on pouvait voir venir... !
l'ennemi le provocateur
nos greniers étaient pleins
nos abris de pailles et de bottes regorgeaient... souviens toi !
les greniers d'isambard
comme ceux de gwynedd
sous la protection de julius et marius
de rien tu n'avais peur
tu chantais le miracle des fontaines lumineuses
tu riais si fort que le soleil en tremblait au dessus des herbes
rassemble tes armes aujourd'hui
la guerre des pailles pourrait faire rage
et dans un déluge de feu embraser l'horizon
Oui, il faut se méfier des bottes de paille... Savez-vous qu'elles peuvent littéralement exploser, si on les engrange trop vite après les avoir formées ?
RépondreSupprimeret c'est ainsi que nos voisins peuvent se ramasser une paille dans l'oeil....
RépondreSupprimerj'entrevoie l'ombre d'une réponse... pousse ta poutre j'vois rien !!!
O_o
RépondreSupprimer(regard inquiet, qui descend vers son mont de Venus, pour s'assurer que rien n'a poussé dans la nuit)
Non, non. Point de poutre, Ami.
(rires)