d'étoiles filantes d'août
brillantes d'argent
d'or ou d'agathe rouge
confondues dans les hautes vertes
soigneusement serrées rangées
poupées décoiffées
saluent le voyageur l'étranger
qui se hasarde étonné
à les regarder
devinez comment on m'appelle
quand les vents d'ouest soufflent et m'épient
Sainte barbe en flamme
RépondreSupprimerd'épique épis épistolaires
Les blés s'enfuient
que vous voilà pourvu
d'un nouvel attribut...
Je ne sais si je vous suivrais sur ce blond terrain là...
Le maîs je ne digère pas. (sourire)
paysage de vert dominant
RépondreSupprimergourmant de nos nappes phréatiques
...nourriture des cochons
et autres ruminants cornus...
laissez ces grains de côté
comme moi
sur le terrain maïs
je ne fais que passer
objectif pointé
Je ne parviens pas à m'astreindre de ne voir que la surface des choses.
RépondreSupprimerCe vert nous coûte inhumaine trop cher pour être honnête...
Et les choses malhonnêtes, j'ai du mal à les digérer, désolée. J'ai probablement un caractère beaucoup trop entier ; c'est ma nature de tigre.
J'envie au Buffle sa capacité à laisser les choses glisser sur sa peau comme l'ondée sans jamais s'y noyer...
Photographiez, Messire, photographiez.
Je vomirai, Messire,
je vomirai.
vous ne vomirez point
RépondreSupprimersi vous ne consommez point
... et si cela arrivait ...
il vous en resterait un goût d'amertume salvatrice
... mais il ne semble que c'est déjà fait !