au creux des fantasmes
si longtemps marcher
sous les couvertures
de l'extase ennui
_ (tsuk) marcher c'est transporter
_ (mrl) j'entrevois l'horizon de l'ennui
_ (tsuk) enfin !
_ (tsuk) mes marches dans les tourmentes ... m'en souviens !
_ (mrl) ... !
_ (tsuk) tu penses en live revenir un jour ?
_ (mrl) suis jamais parti
_ (mrl) c'est déjà l'bout du monde !!
_ (tsuk) pas grave... la porte donne sur la galaxie d'accroch'coeur...
...
(celle des ultra machines)
L'on ne s'ennuie jamais tout à fait, au bout du monde connu... Car l'on peut observer l'inconnu qui s'éveille au bord du gouffre, et s'attendrir sur les perspectives qu'il offre...
RépondreSupprimerMinot tords
donc le cou
à ces idées reçues
ces idées préconçues
qui ne savent pas se recevoir
Sans tout à fait s'apercevoir
ce cher inconnu
RépondreSupprimersans qui (Shanki)
ce nommé connu
ne serait qu'une ombre transparente
ceux qu'il n'attendrit
frissonnent
effrayante perspective refoulent-ils alors !
(gratt, gratt)
RépondreSupprimerMmmmh...
Parfois vos paroles me noient dans les flots d'une lascive consternation : entre les faux paradis en ligne vrais mmorpg et les Shanki sans qui j'erre de googlerie sans bingo en doute avec frustration, je trouve à cette matinée un goût doux amer sucré salé qui pétille entre mes neurones et finit par m'inquiéter...
Vous propos m'intriguent, mon cher, vos propos m'intriguent, même si je n'ai pas la clef (de douze) pour les entendre de plus près.