j'aurais du me douter
que sur des terres guerrières
chaudement je m'aventurais
remué le sang des souvenirs
par les lames tranchantes
des larmes du temps
brûlées grillées cramées
les terres dures du sang
résonnent encore des combats templiers
atteint de l'hérésie cathare dévastatrice
6 siècles passés et la terre gravée
respire toujours les cris des épées
mêlés d'ardents buissons épineux
aux baies abondantes
rouge de colère jamais de honte
puissante comme un rock 'n roll provocateur
dans un monde soumis à la terreur
les terres dominent irréductibles
les pouvoirs établis
sous la protection du dieu illuminé aux ailes d'or
seul maître véritable de ces terres étourdissantes
Tenez...
RépondreSupprimerJe vous prête mon épée, pour traverser ces rouges contrées sans crainte.
http://lunedemaledaumon.blogspot.com/2009/04/mat-en-44-coups.html
Prenez garde cependant à sa puissance ; elle a été forgée à mon exacte mesure.
merci chère aventurière.... mais quand même il vous aura fallu 44 coups //
RépondreSupprimerquant à la taille... je les préfère plutôt petite... alors !
lorsque je vous la rendrai elle sera peut être encore maculée du sang de mes obstacles.. qu'importe elle vous reviendra !
...
("Tu vas voir, si je ne sais pas jouer aux échecs. Les compagnons du Crépuscule, la guerre des Forces...")
Le plus drôle, dans l'histoire c'est que j'ignorai encore, au moment d'écrire le billet que je m'y renderais, dans le 44...
RépondreSupprimerAh les joies de l'écriture automatique...
Pour le sang, ça n'a point d'importance... Elle ne craint ni sang ni larme, ma belle épée fée...
Je la nettoierai à Barenton.