roses comme chair frémissante
douces comme le souffle brûlant
des mots doux à la veillée
caresses suaves doigts de fée
à fleur de peau à peine frôlée
mélusine a des roses plein bouquet
une seule est sans épine...
et l'éternité
sans jamais faner
(d'après photos Internet / p. wecksteen)
(ps) un soir d'étoiles j'ai vu mélusine nue
ne dites pas que l'ai vue
choisir sa robe de pétales pour le jour du demain
Vraiment hâte.
RépondreSupprimerah bon !!! (sourires)
RépondreSupprimer(empourprement lent de rose intimidée)
RépondreSupprimerMéfiez-vous, m'sieur Lucas, méfiez-vous... Toutes les princesses ont leur garde-du-corps, et ceux de Melusine disposent de daguets acérés, susceptibles de vous débusquer derrière la maternelle volute de végétation qui vous croit bien dissimuler...
A surprendre les fées au bain, on risque de les rendre serpentes... Ne le saviez-vous pas, m'sieur Lucas ?!
risques dites vous...
RépondreSupprimerbien souvent je m'y suis fait prendre
et mordre...
toujours ressurgit...!
Vous n'apprenez pas de vos erreurs, ou vous vous entêtez à voler un plaisir qui pourrait vous être librement donné...
RépondreSupprimerVous me faites penser à votre ancêtre, Adam.
Attendez, vous avez oublié votre pomme... Elle est pourtant à peine entamée...
merci pour la pomme... !
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