journal de bord et humeur du jour

9 juillet 2009

Influe moi

décor en grelotte
en sourire factice

éclair pendulaire
pour question d'actu
réponse circonflexe
réalité du soir
signe d'espoir à voir
le 17 plein d'espoirs influés

au loin les fumées se tortillent éclairs jaunes baguettes rouges
des cris des pleurs tout le monde a peur
la cité gronde quadrillée
par les brigades échappées du G8
(le Grand 8, celui qui vous met la tête à l'envers !!)



accorde ton arc berbère dit le monarque barbare
les temps de guerre ne tardent guère sur les chemins de guer...
sens la poudre !
sens le canon !
sens venir l'ombre de ton ombre
demain

2 commentaires:

  1. Quelle belle vue sur la guerre...

    Ca marche au pas, au pas de charge, somptueusement cintré de vert-de-gris sans éclat, mais voilà que tourne se tourne une page d'histoire et que la guerre s'achève... Vite, vite, trouver de nouveaux foyers pour essayer ces nouveaux canons, ces nouvelles munitions...

    Et je frissonne. D'un plaisir effroyablement effrayant ; à frayer avec leur véhicules, je recule en mon inhumanité...

    Je taquine le bleu et le vert, les suivant du regard non sans me sentir vaciller à leurs armes à peine cachées...

    Aristote avait tort. Ce n'est pas le rire, le propre de l'homme.

    C'est la guerre. C'est l'apologie du militaire... nous sommes la seule espèce a l'avoir en aussi haute estime, malgré nous-même.

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  2. c'est l'éclat cinique, le ricanement, le sac de noix sous képi et assimilé.
    le rire le vrai reste le propre des nanas et des mecs conscients de la vie, la vraie celle qui ne se parfume pas au souffre.... etc !

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