balles de foin roulées
trempées des orages soudains

nos retenues gigantesques
et (sic a.b.)
nos luttes partent en fumée
vers des flûtes enchantées
et de cruelles espérances

des dagues et des lances
en toute innocence
j'retourne à ma bricole
ma cabane au fond d'mes neurones

un marteau au fond du garage
j’cloue des clous sur des nuages
sans échafaudage

et warning
j'alerte en urgence
dans les grondements silencieux de mes pluies d'orage

Mur du son, mur de l'Atlantique...
RépondreSupprimerC'est toujours des murs d'incompréhension qui se dressent entre nous.
(sourire triste)