journal de bord et humeur du jour
7 septembre 2008
Naturellement
étendues infinies
en blanc coquillage
l'oiseau gris a l'œil perçant
silence feutré
sous le sable mouillé
des dernières marées
descendues
pas gravés
pour l'étenité
dans les mémoires oubliées
la plage du jour s'achève
dans le nombril du sable
torride
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