semé de rouilles et d'ocres
qu'éclaire le lumineux
jusqu'au soir
jusqu'à l'embrasement horizontal
jusqu'aux reflets glacés des derniers étangs
tant d'étangs
tant de reflets
profondeurs abyssales
mémoire des partages
la vie déroute
déroule ses saisons sans épisode
déferlantes répétées
enfouies dans l'empreinte des sables humides
star de l'été ou de l'hiver
tu restes au coin du feu ou de la piscine
même sourire même éclat
de voix tu vois
pas croisés
sable provisoirement foulé
projecteur céleste au max
ombres de fond
contre jour aveuglant
tu profites
disparition
reste l'enivrant parfum de ton absence
au fond de ma mémoire le son de ton rire
au bout de ma route si longue
ton ombre rouge bouge encore
Il me paraît souhaitable qu'une disquette de "vos images d'océan", rejoigne l'île norvégienne de Spitzberg , qui abrite la diversité végétale menacée par les catastrophes naturelles, les guerres et le changement climatique. (sourire)
RépondreSupprimerce serait bien de développer l'idée.... (re sourire)
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