ouverture céleste si profonde
qu'au-delà de la lune l'univers se noie
au bout de ma route
derrière le dernier virage métalisé
étendues sur l'horizon instable
les couleurs arrogantes de ton "sang t'y ment"
colorent effrontément encore une fois
l'étendue brouillée de ma vison automobilesque
serais-je perdu dans l'onirisme tenace
qui me colle au coeur depuis des jours et nuits
Il n'y a point de météore sur votre route, et vous voilà contraint de les inventer...
RépondreSupprimerC'est joli, c'est sûr, mais ça ne vaut pas les vrais.
dis pas ça tsuktsuk tu vas réussir à en faire tomber une vraie
RépondreSupprimerpas envie de sucer une glace univers aux parfums galactiques