au travers de la foule des années qui passentarrachées d'étranges horizons lointains
tempêtes et grands chahuts bravésau travers de décors d'apocalypse embrasés
les paroles assassinesde tes lèvres trop rouges
parviennent toujours comme un écho métallique
à percer le silence de mes nuits coloriéesparfois même celui de mes kilomètres infinis
combien faut-il encore de nuits trop courtespour calmer la lourdeur de ces silences barbares

et retrouver la légèreté des légendes
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