rien ne bouge
les pigeons frémissent à peine
les herbes colorent de vert
les yeux des regards éblouis
rien ne bouge
libertad domine le jour
8 est le jour du 10
chacun sort vainqueur de son matin octobrien
octobre n'a rien de monotone, rien de frileux, même les feuilles les plus fragiles se colorent du rouge de nos sangs, vibrant si fort que d'ici, tu vibres encore
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