disait francis
loin des agitations de l'été
lorsque nos pas avec lenteur
marquaient le sable et
marquaient le sable et
le tapis de feuilles rouges
tremblant des dernières chaleurs
vestiges d'une saison achevée
le temps dans un souffle retenu
suspend arrogant le sablier des heures
rien ne bouge
tout surprend
le silence déchire les horizons flottants
émerveillement
plénitude de l'instant
nature de la vie