il fallait par là se faufiler courant d'air furtif
comme une ombre évanouie derrière les portes bleuesà l'angle aigu des couturières farouches
là près des façades que frôlent les nuages
jusqu'au fond des roses les plus épanouies les plus chiffonnées
et disparaître dans la lumière au creux des ombres
Les couturières farouches...
RépondreSupprimerOui, des couturières si affairées sur l'ouvrage, qu'elles fuient les nouveaux clients comme la peste!
Des couseuses, ayant juré fidélité à l'exigeante cliente, tout au fond de l'impasse.
Quelle belle histoire tu nous permet d'inventer avec tes photos!
Bises
Harmonia perfeita entre as fotos e o poema.
RépondreSupprimerAté as mais belas flores desaparecem com a ausência da luz.
Beijos
un village fleuri comme je les aime, où la vie semble douce, où les ruelles parlent de pierres, de portes et de fenêtres qui ont connu tant de vies!
RépondreSupprimerbisouxl
very picturesque setting
RépondreSupprimerlktyt
J'aime !
RépondreSupprimer