dans l'eau glacée du jour
coule le sang du monde
la rage de vivre des favelas
et autre ruelle africaine
coule le sang du monde
la rage de vivre des favelas
et autre ruelle africaine
et l'autre là
balayée par le vent froid de la steppe
de ce micro village sans nom que le monde ignore
balayée par le vent froid de la steppe
de ce micro village sans nom que le monde ignore
le rire des hommes ivres le soir
autour d'une table de bois
laisse planer des terreurs
dans les coeurs chahutés des enfants
la planète entière vibre des énergiesautour d'une table de bois
laisse planer des terreurs
dans les coeurs chahutés des enfants
d'amour que les anges soufflent les nuits
de novembre de derrière les nuages
même des plus sombres
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