"Il avança, sourd aux voix qui l'imploraient de
revenir, insensible aux mains qui s'accrochaient
à lui, de toute prière, soulagé du fardeau de ses
dons, de ses veilles, de ses visions. Il franchit
la porte des ténèbres, le seuil de sa tombe encore
à creuser, et le temps se referma derrière lui si
doucement que nul ne perçut l'instant où le loquet
se verrouilla."
(Edith Pargeter / L'arbre du paradis - la graine écarlate)
partir en douceur sans bruit !
RépondreSupprimerjolie composition originale
tout en légèreté
Supprimeravant les chaleurs de l'été
sans bruit aucun
c'est beau
RépondreSupprimercomme un tableau de Rothko
merci beaucoup
Supprimerpour la comparaison
... mais j'en suis bien loin :-)
Je déguste tous ces extraits et contemple les photos et celle-ci tout particulièrement.
RépondreSupprimermerci beaucoup
Supprimerje vais tenter de tenir tout mai :-))