des rires jusqu'au bout du bruit
éclats de lumière
dans les cheveux
affolés
sac à dos et jeans rapés
le voyage jusqu'à martini
côte ouest entre les rêves
couleur kerouac et moriarty
blizzard des steppes
écho des savanes
jusqu'aux grandes toundras
là-bas
des trains pas comme les autres
RépondreSupprimertransatlantique
ou transsibérien
des ombres anonymes
des trains pour se retrouver ou pour partir, s'enfuir... ou pour mourir comme dans lOrient Express ou pire comme l'évoque Roger..!
SupprimerOui, Kerrouac, bien sûr. Tu en est si proche. Mais les gares pour moi ont une autre odeur, de convoi, de terminal, de cris. Je n'y peux rien. Certaines étoiles tombées des wagons, je les porte comme une mémoire sauvée de l'oubli. J'en ai si souvent parlé avec mon ami Raymond. La rafle de 42, Pitchipoï. Je suis malade de cette histoire qui me colle à la peau. Tu n'y peux rien, cher Patrick.
RépondreSupprimerJe te souhaite une belle soirée et je t'embrasse fraternellement.
Roger
bien sur Roger je comprends.
Supprimerles étoiles qui tombent du trains restent à jamais dans les mémoires et si celles-ci deviennent amnésiques, elles restent accrochées au coeur
Je t'embrasse
Les trains je les aime
RépondreSupprimeret suis émue aux larmes par le commentaire de Roger
par l'étoile jaune tombée
et cette écriture contre l'oubli
merci à vous deux
ici un peu d'or, petit cadeau pour toi
merci maria
Supprimervoilà un train bien chargé...
et un claude nougaro au plein de sa forme
superbe !