sur le quai / désert
le soir à la lune montante / pleine
son talon claquait / sec
sur le pavé refroidi / humide
en cette fin de printemps / elle danse
la température était instable / fraîche
encore des ombres furtives / floues
elle avançait lentement / sourire
elle ne s'arrêtait jamais / chevelure
la surface de l'eau / profonde
était le miroir de la lune / ivoire
pour une fois / encore
très joli texte et les derniers mots lus à la suite font comme un ruban qui serpente dans le vent !
RépondreSupprimerBelle dedicace a la lune qui nous fait rever.
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