baie béante juste vitrée fouettée
des reflets pleins de gris de bleus
façon trop vieil argentique
graine du temps courage
déplante
prisonnière du vent
les plus terribles des affreuses attentes
coeurs en torrents cascades d'elle
sur désirs en remous encore éclaboussent tout
retiens rien qu'un bout de
la nuit
retenues d'oh! ou d'ah!
comme une dérisoire barricadecombats de rue réprimés
les rebellions soumises meurent
immobiles derrière la baie
en riant
J'aime ce temps de retard des images sur les mots.
RépondreSupprimerLes photos déposées, comme la mer en tempête jette un madrier sur la grève.
Comme l'homme en grève, jette un madrier dans l'océan amer.
Bises
Maia
Ce blog est une beauté et ses commentateurs ont le talent d'y ajouter. Ce que vous écrivez Maia est un regain. Merci.
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