nez au vent
l'or au bout des yeux
comme si le chant des sirènes
une dernière fois
se mêlait aux souffles d'eole
arpenter les lames de bois
sans larme de glace
sans d'interminables soupirs
comme si le coeur
était encore léger
comme aux premières rencontres
la mémoire est diabolique
elle traque le moindre oubli
vous laisse dans l'immense désert du temps
comme si le temps
était une sentence
la condamnation de l'espérance
Tes planches du vent sont magnifiques :)
RépondreSupprimerTes paroles ne sont pas dans le vent..
Je les lis bien et les ressents bien :)
Bravo, Patrick
Bisous
Merci Linda
RépondreSupprimerJe suis très heureux que tu apprécies ces quelques mots
Belle nuit à toi / Kisses