sur les pointes extrêmes des falaises normandes
les cliquetis rouillés des mécaniques portuaires
mariaient les souffles marins des alizés d'outre-manche
les ombres s'agitaient dans de gracieuses arabesques
que les navires au large saluaient dans de lents mouvements d'hélices
Bonsoir, je connaissais la valse lente des torues, pas celle des trois grues. J'aime beaucoup la manière dont tu captures l'image. Ce que tes yeux donnent à voir, à recevoir.
RépondreSupprimerLa lumière de cette falaise, avec cette impression d'un ailleurs, d'une immensité...
Le bleu du ciel, ces arbres façon je penche, ce sol couvert d'or.. Ai loin j'entends la mer...
La mécanique bois de rose. Cliché que je trouve très moderne.
Ah une immensité, des galets, la mer en grande profondeur digne du grand bleur. Au loin?. La panthère rose! Excellent!
Point commun, la photo du sol, de ses pierres, ce cet ancrage...
Voilà!.
Bises
Mauve
ps: prends soin de mon étoile mauve, que tu as de côté!
Merci, merci merci pour tous ces commentaires... ça fait du bien...
RépondreSupprimerMoi aussi je connais celle des tortues de K. Pancol (j'ai bine aimé) et je n'ai pas encore lu son truc d'écureuils
Ton étoile est en paix et en sécurité... j'y veille !!
bises