éclatement du coeur
chute dans le trou du bout
abîme impossible
brisure ou déchirure
cassure en douleur
pauvre nature de l'homme
univers des possibles
âmes soeurs
pour des lendemains espérance
amour au bout du coeur
journal de bord et humeur du jour
31 août 2008
30 août 2008
D'accord
en orange pour ton coeur
en rouge pour tes pleurs
en bleu pour tes sourires
le jaune te frôle
quand le blanc t'étincelle
et envahit
le jour qui se couche
entièrement d'accord
avec la nuit hotmail
29 août 2008
Vision de pierre
revoir les ombres des lendemains
encore une fois
les sourires de chair
enveloppés de nuages bleus
si bleus
tu te souviens ...
des grands rires infinis
quand le courant
entre les cailloux étincelants
faisait sursauter les jeunes libellules
elfes des rivières transparentes
couleurs magiques
doucement
encore une fois
les sourires de chair
enveloppés de nuages bleus
si bleus
tu te souviens ...
des grands rires infinis
quand le courant
entre les cailloux étincelants
faisait sursauter les jeunes libellules
elfes des rivières transparentes
couleurs magiques
tu avais posé ta main
sur la mienne
encore froide de ma nuit noire
sur la mienne
encore froide de ma nuit noire
rêve de nos jours
j'avais tant espéré
j'avais tant espéré
28 août 2008
Fatal Sillon
je ne suis rien de + qu'hier
rien qu'un petit grain de poussière
poussé par la fatalité
rien qu'un petit grain de poussière
poussé par la fatalité
de cap gris nez
à st malo
divisé par
cap de bonne espérance
sous la haute surveillance
de mon guide
et des anges du soir
les 2A
...plein d'espoir
27 août 2008
Km 26
tous les kilomètres portent des chiffres
26
21
07
49
53
35
pouvoir magique de la symbolique
57
17
15
graphisme complexe dissimulé
11
12
73
87
29
et beaucoup d'autres
un peu moins !
Tunnel de toi
pour arriver jusqu'à l'ombre de toi
faudra-t-il explorer les profondeurs
fausses fosses d'ébène
lumière de sang
des appels assourdissants
en couleur de toi
c'était juste un soir
nous dansions hysteria
c'était l'hiver
il faisait si chaud
enveloppé dans un grand châle d'étoiles
on the road again...
en évitant les grands hangars
abris sombres des pensées liturgiques
hérésie de siècles moribonds
mastodondes pesants
où résonne la douleur de celui qui reste
faudra-t-il explorer les profondeurs
fausses fosses d'ébène
lumière de sang
des appels assourdissants
en couleur de toi
c'était juste un soir
nous dansions hysteria
c'était l'hiver
il faisait si chaud
enveloppé dans un grand châle d'étoiles
on the road again...
en évitant les grands hangars
abris sombres des pensées liturgiques
hérésie de siècles moribonds
mastodondes pesants
où résonne la douleur de celui qui reste
26 août 2008
Motor Power
des champs de vagues
pour creuser des déserts
le soleil s'est caché
derrière le ciel pesant
brûlant tous les cris de jadis
... poussières dispersées en mer
profondeur infinie des matins obscurs
hysteria reprendpour creuser des déserts
le soleil s'est caché
derrière le ciel pesant
brûlant tous les cris de jadis
... poussières dispersées en mer
profondeur infinie des matins obscurs
des étoiles plein les yeux
refaire ce qui, mis de côté
n'attend que la reprise
de ce qui ne pouvait cesser
just' une errance
quelques miettes de temps
et croire que l'oubli s'installe
des images
réminiscences
photos gravées
dans les pierres observées
te souviens-tu, archange st michel
gardien de nos coeurs
forever
comme au 1er j.
25 août 2008
En Marchant
Mélissa, métisse d'Ibiza
Vit toujours dévêtue
Dites jamais que je vous ai dit ça
Ou Mélissa me tue...
Le matin derrière ses canisses
alors qu'elle est moitié-nue
Sur les murs devant chez Mélissa
Y a tout plein d'inconnus
"Descendez, ça, c'est défendu !
Oh ! c'est indécent !"
Elle crie mais bien entendu
Personne ne descend...
Sous la soie de sa jupe fendue
En zoom en gros-plans
Tout un tas d'individus
Filment, Noirs et Blancs...
Mélissa, métisse d'Ibiza
A des seins tout pointus
Dites jamais que je vous ai dit ça
Ou Mélissa me tue...
"Descendez, ça c'est défendu
Mater chez les gens !
" Elle crie mais bien entendu
Y a jamais d'agent...
Elle crie, c'est du temps perdu
Personne ne l'entend...
La police c'est tous des vendus
Dix ans qu'elle attend
Mélissa, métisse d'Ibiza
A toujours sa vertu
Dites jamais que je vous ai dit ça
Ou Mélissa me tue...
Ouh ! Matez ma métisse
Ouh ! Ma métisse est nue
Ouh ! Matez ma métisse
Ouh ! Ma métisse est nue
Mélissa, métisse d'Ibiza
Vit toujours dévêtue
Dites jamais que je vous ai dit ça
Je vous ai jamais vu
Le matin derrière ses canisses
alors je vends des longues-vues
Mais si jamais Mélissa sait ça
Là, c'est moi qui vous tue...
Ouh ! Matez ma métisse
Ouh ! Ma métisse est nue
Ouh ! Matez ma métisse
Ouh ! Ma métisse est nue.
Vit toujours dévêtue
Dites jamais que je vous ai dit ça
Ou Mélissa me tue...
Le matin derrière ses canisses
alors qu'elle est moitié-nue
Sur les murs devant chez Mélissa
Y a tout plein d'inconnus
"Descendez, ça, c'est défendu !
Oh ! c'est indécent !"
Elle crie mais bien entendu
Personne ne descend...
Sous la soie de sa jupe fendue
En zoom en gros-plans
Tout un tas d'individus
Filment, Noirs et Blancs...
Mélissa, métisse d'Ibiza
A des seins tout pointus
Dites jamais que je vous ai dit ça
Ou Mélissa me tue...
"Descendez, ça c'est défendu
Mater chez les gens !
" Elle crie mais bien entendu
Y a jamais d'agent...
Elle crie, c'est du temps perdu
Personne ne l'entend...
La police c'est tous des vendus
Dix ans qu'elle attend
Mélissa, métisse d'Ibiza
A toujours sa vertu
Dites jamais que je vous ai dit ça
Ou Mélissa me tue...
Ouh ! Matez ma métisse
Ouh ! Ma métisse est nue
Ouh ! Matez ma métisse
Ouh ! Ma métisse est nue
Mélissa, métisse d'Ibiza
Vit toujours dévêtue
Dites jamais que je vous ai dit ça
Je vous ai jamais vu
Le matin derrière ses canisses
alors je vends des longues-vues
Mais si jamais Mélissa sait ça
Là, c'est moi qui vous tue...
Ouh ! Matez ma métisse
Ouh ! Ma métisse est nue
Ouh ! Matez ma métisse
Ouh ! Ma métisse est nue.
24 août 2008
Protection
pour qui sait voir, les coïncidences portent des habits de lumières
plus l'homme aura le réflexe de le porter et l'utiliser
plus il sera apte à se prémunir
contre tous les dangers de la vie
23 août 2008
Pendulum's path
exploration des interrogations
coquelicots et chèvre-feuilles transparents
chardons fleuris
avoines et herbes folles couchées
accueillantes
réponses inspirées révélées
à l'impatience
creux des mots gravés dans les nuages
l'avenir s'inscrit
creux des mots gravés dans les nuages
l'avenir s'inscrit
existe-t-il encore des fruits défendus ?
Perfume yesterday
you still in my mind
you would say anything
you would try anything
to escape your meaningless
your insignificance
your uncontrolable
we are unloveable
your uncontrolable
we are unloveable
you burn from a distance
your brain needs some assistance
et regarder brûler le feu
dans la cheminée
Inscription à :
Articles (Atom)