les matins du monde
changent tout le temps
nuages au vent soufflés du haut des sphères
dans les couleurs du temps
dès les premières lueurs de l'aube
décompte des heures des quais de gare depuis st lazare
le train train et ses vagonnées de quotidiens
jusqu'aux embarcadères des ventrus cargos du havre
des au-revoir traînent un peu dans les mouchoirs
les pavés se souviennent des pas lents portant les peines
des dernières heures de février...
... et si mars attaque déjà demain ?... marylou s'en fout